vendredi 30 avril 2010

Silence

Saturation, overdose, trop plein.
Pour dire quoi en fin de compte ? On ne sait plus.

"Dans le doute abstiens-toi"

Boitiers et objectifs sont rangés dans un tiroir jusqu'à nouvel ordre.

vendredi 26 février 2010

de belles et nouvelles nuits

J'ai tout un nouveau quartier à découvrir.
A côté, le parc de Belleville. On s'y promène la journée, mais le soir les lumières sont tellement plus intrigantes. Les passants regardent, intrigué par cet appareil juste posé au sol, ou encore accroché solidement à une grille. Les yeux plein de questions ils continuent leurs balade digestive... Et moi j'attends que le volet se ferme.

samedi 13 février 2010

Une bonne chose de faite

Deux fibrômes m'ont quitté. C'était hier matin à 11h15, à l'hôpital Tenon.
Durant ce court séjour chez Tenon, j'ai partagé la chambre 2/3 avec Mme Raja, 45 ans, qui s'est fait enlever un sein et bataille contre un cancer.
Ce matin, quand un médecin lui a dit que maintenant elle était sur la bonne voie, madame Raja a retrouvé son sourire.
Je suis partie avec deux écorchures, bizarrement effrayée mais aussi soulagée.
Bonne chance madame Raja !
Je penserai bien à vous.




dimanche 7 février 2010

La musique soulage les moeurs

Soirée Gals Rock à l'Internationale, dans le quartier Oberkampf.
Un concert, de la photo argentique Noire et Blanc.

samedi 9 janvier 2010

2010 et la neige sont au rendez-vous !

Une nouvelle année, zéro résolution, juste la vie qui continue sur les mêmes rails.
Des rails bien agréables d'ailleurs, personnes ne touche quoi que ce soit hein ! ?
Un peu de neige... ok je veux bien... Mais pas trop non plus, mes fenêtres sont trop vieilles.


dimanche 6 décembre 2009

Week-end Rhum arrangé


Rue Louis Blanc

Nous continuons nos visites des piquets de grève de Sans-papier et cette fois l'autre côté a parlé.
Il faisait sombre, il a fallu utiliser un flash ce qui a fait sortir les patrons du bureau qui reste en activité. Un premier mot excédé, une phrase un peu agressive puis le dialogue.
Rien n'est ni blanc ni noir: des administrations qui bloquent les dossiers de régularisation, des lettres qu'on exige des employeurs qui refusent de recommencer ce qu'ils ont déja fait et qui a été perdu mainte fois. Semble-t-il...
Le résultat est sans issu : et finallement ce sont eux, les sans-papiers, qui restent sur le trottoir sans toujours très bien comprendre ce labyrinthe de l'administration française qui semble tout faire pour ralentir au plus leur régularisation. Pourquoi !?