dimanche 6 décembre 2009
Rue Louis Blanc
Nous continuons nos visites des piquets de grève de Sans-papier et cette fois l'autre côté a parlé.
Il faisait sombre, il a fallu utiliser un flash ce qui a fait sortir les patrons du bureau qui reste en activité. Un premier mot excédé, une phrase un peu agressive puis le dialogue.
Rien n'est ni blanc ni noir: des administrations qui bloquent les dossiers de régularisation, des lettres qu'on exige des employeurs qui refusent de recommencer ce qu'ils ont déja fait et qui a été perdu mainte fois. Semble-t-il...
Le résultat est sans issu : et finallement ce sont eux, les sans-papiers, qui restent sur le trottoir sans toujours très bien comprendre ce labyrinthe de l'administration française qui semble tout faire pour ralentir au plus leur régularisation. Pourquoi !?
Il faisait sombre, il a fallu utiliser un flash ce qui a fait sortir les patrons du bureau qui reste en activité. Un premier mot excédé, une phrase un peu agressive puis le dialogue.
Rien n'est ni blanc ni noir: des administrations qui bloquent les dossiers de régularisation, des lettres qu'on exige des employeurs qui refusent de recommencer ce qu'ils ont déja fait et qui a été perdu mainte fois. Semble-t-il...
Le résultat est sans issu : et finallement ce sont eux, les sans-papiers, qui restent sur le trottoir sans toujours très bien comprendre ce labyrinthe de l'administration française qui semble tout faire pour ralentir au plus leur régularisation. Pourquoi !?
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